Éternel, mets une garde à ma bouche, Veille sur la porte de mes lèvres!
Psaume 141:3
Saviez-vous mes bien-aimés quel est le contraire du bien-parler? c’est maudire. Nous n’avons pas à utiliser le verbe maudire ou le mot malédiction pour que nos paroles soient considérées comme telles. Le Seigneur s’adressant à un figuier a dit : « Que jamais personne ne mange de ton fruit! » (Marc 11:14). » Le matin, en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu’aux racines. Pierre s’adressant au seigneur lui dit: Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit a séché. » (Marc 11:21). J’espère que vous aviez noté la remarque. Jésus n’a jamais employé le verbe « maudire » ou le mot « malédiction » quand il s’est adressé au figuier et il n’a surtout pas corrigé Pierre quand il a fait sa remarque.
Nous avons souvent l’habitude d’utiliser l’expression « un jour ça va aller« . La réalité est que, le temps ne change rien, le temps ne fait que révéler ce qui était déjà en processus. Avez-vous remarqué, lorsque le Seigneur a maudit le figuier, le dessèchement ne s’est pas produit automatiquement. C’est le lendemain que cela a été visible. Par contre le processus a démarré à la racine au moment même où la malédiction a été prononcée et avec le temps cela s’est étendu à l’arbre entier. Il en est de même pour les paroles que nous confessons. Chaque parole que nous disons, commence à former notre réalité. Et celle-ci arrive très souvent à manifestation avec la fréquence d’expression.
La mort et la vie sont au pouvoir de la langue; Quiconque l’aime en mangera les fruits (Proverbes 18:21). Prenons le temps bien-aimés de confesser la parole de Dieu sur notre vie. Même si la situation semble visiblement contraire aux promesses de Dieu dans notre vie. Au lieu de relâcher un flux de paroles négatives, de découragement, de malédiction (mal – diction) de notre bouche; déclarons plutôt la vie, en confessant les promesses et la parole de Dieu sur la situation. Nous pouvons être sûr d’une chose, comme pour le figuier, dès la racine, Dieu commencera par opérer le changement. Lorsque les symptômes semblent s’empirer, déclarons sur notre corps, par les meurtrissures de Christ je suis guéri (Ésaïe 53:5). Lorsque la crainte survient dans notre cœur, proclamons sur nous même: le châtiment qui me donne la paix (Shalom) est tombé sur Jésus (Ésaïe 53:5) et je reçois le Shalom de Jésus-Christ (Si vous ne connaissez pas encore le Shalom du Christ, lisez (experimentez la shalom du christ). Lorsque le compte en banque persiste dans le négatif, déclarons, je reçois la grâce du Seigneur Jésus Christ qui pour moi s’est fait pauvre de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté je fusse enrichis.
Prenons l’habitude par la grâce de Dieu de toujours confesser la parole de Dieu sur notre vie. Et sachons une chose mes bien-aimés, dès que nous nous mettons à confesser ces paroles, Dieu démarre le processus d’accomplissement à la racine et la manifestation visible n’est qu’une question de temps. Le temps ne change rien, il ne fait que révéler !
A la croix Christ a tout accompli pour nous, le Fils de Dieu s’est donné pour nous par amour afin que nous ayons la vie, la vie en abondance. Proclamons donc la parole de Dieu sur notre vie, des bien – dictions (bénédictions) éternelles et puissantes !
Originally posted 2021-12-16 04:00:00.